Les années 68 au cinéma - Tulle

Publié le par mai

Cette année, Mai 68 a ressurgi comme enjeu de débat.
Fidèle à la démarche de questionnements permanents
sur les fils qui se tissent entre la société et le cinéma, l'association " Autour du 1 er mai ", en connivence avec Peuple et Culture et le Cinéma Le Palace, a décidé de revisiter les années 1968 et leur cinéma. Nous espérons que vous serez nombreux à participer aux débats qui auront lieu après les projections, en présence d'historiens, de spécialistes de cinéma et de réalisateurs.
  


Jeudi 24 avril

Cornil - ancienne école de Poumeyrol avec l’Association Le Battement d’ailes (fléchage)

19h00 Repas bio 3 €

20h30 Projection gratuite

Classe de lutte / Groupe Medvedkine de Besançon

1969, 37’

Suzanne, ouvrière dans une usine d’horlogerie de Besançon, crée une section syndicale CGT malgré la méfiance des dirigeants syndicaux et les intimi­dations du patronat. Le premier film réalisé par les ouvriers du Groupe Medvedkine.

La Fiancée du pirate / Nelly Kaplan - 1969, 106’

La vengeance de Marie, orpheline pauvre, contre l’hypocrisie et la médiocrité de tout un village. Film impertinent, qui dénonce dans une veine plus

surréaliste que sociale, teintée d’humour noir, les préjugés moraux et la tartuferie des bien-pensants.

Vendredi 25 avril

Marc-La-Tour - salle Polyvalente, avec le foyer rural

19h00 Casse-croûte à petit prix

20h30 Projection gratuite

Mai 68, la belle ouvrage / Loïc Magneron

1968 /1998, 52’

Long réquisitoire contre les violences policières,

« Mai 68, la belle ouvrage » confronte scènes

d’affrontements filmées sur le vif et entretiens des témoins de l’événement.

Croquis de mai / Alain Jomy - 1998, 8’

Montage de dessins à la gouache et à l’encre de Chine réalisés par Marek Halter, « Croquis de Mai » illustre un poème du journaliste et écrivain Maurice Clavel.

Mourir d’aimer / André Cayatte - 1971,110’

1968, Danielle Guénot est professeur dans un lycée à Rouen. Dans l’exaltation encore fraîche du mois de mai passé, Danielle et l’un de ses élèves, Gérard

Le Guen, s’aiment. Les parents de Gérard, qui se plai­sent pourtant à afficher des idées libérales, por­tent plainte pour détournement de mineur…« Mourir d’aimer» résonne comme l’adieu aux


 

Cinéma Le Palace,Tulle, 106, avenue Victor Hugo Tarif des séances :

5€ la place, 20 € pour 5 places, 35 € pour 10 places.


 

 

 

 

Publié dans Cinéma enragé

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